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Un film poème en 18 vagues, comme autant de scènes pour décrire Paris, ses paysages urbains, l'état d'urgence, la colère, la révolte...
Un film poème en 18 vagues, comme autant de scènes pour décrire Paris et ses paysages urbains traversés par un "jeune mineur étranger isolé", les attentats, les roses blanches, l'état d'urgence, le bleu-blanc-rouge, l'océan atlantique et ses traversées, les volcans, la beat-box, la révolte, la colère, la violence d’État, un chant révolutionnaire, le silence, et la joie… Rien que la joie.
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"En opposant les motifs, en joignant les images et les sons (bruits, chants révolutionnaires, silences de la nuit, alarmes hurlantes), Georg
"En opposant les motifs, en joignant les images et les sons (bruits, chants révolutionnaires, silences de la nuit, alarmes hurlantes), George reconstruit Paris, un peu comme un architecte construirait une maquette, avec ses pleins et ses vides, pour donner de la capitale une image en 3D totalement mentale. Celle de Mohamed, l’homme qui est ici et en dehors en même temps ?"
Jean-Baptiste Morain"Paris est une fête, de Sylvain George, un film en 18 vagues. Ce n’est pas une coquetterie, mais un manifeste. C’est bien de vagues qu’il s’
"Paris est une fête, de Sylvain George, un film en 18 vagues. Ce n’est pas une coquetterie, mais un manifeste. C’est bien de vagues qu’il s’agit, avancées et ressac sur une plage entre événements en apparence contradictoires et qui pourtant s’avèrent liés. Profondément, par leur mise en rapport : la mise en scène même. Soit la vie d’un jeune Guinéen, débarquant à Paris à la fin de l’année 2015. Un an de vie d’un garçon d’abord un peu perdu et d’une ville sous état d’urgence secouée par des attentats, des manifestations, des nuits debout de la République aux rues marchant contre la loi travail. La fête, c’est ça. Et les vagues vont, baignant le garçon exilé dans leur va-et-vient, de l’inquiétude à l’espoir. Car cet étranger est attentif à tout, des fêtes de rue aux arbres qui se mettent en feuilles. Et le cinéaste avec lui. C’est la beauté charnelle de ce film. Tendre. Certains regretteront peut-être l’âpreté des premiers films de Sylvain George, cette rage qui lui faisait lever le poing devant le courage des guerriers qu’étaient pour lui les émigrés de Calais (Qu’ils reposent en révolte, 2010). À tort. Après la rage le temps doit venir pour la réflexion."
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