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Un adolescent de 14 ans, qui vit pratiquement seul, tente de renouer avec un travailleur roumain, ancien compagnon de sa mère, fragile psychologiquement.
Miguel, 14 ans, vit pratiquement seul. Carmen, sa mère fragile psychologiquement, est là sans être là : elle apparaît et disparaît. Pour survivre, l'adolescent est obligé de vendre des paquets de mouchoirs en papier à un euro pièce. Il tente de s'en sortir en sollicitant l'aide d'un ancien compagnon de sa mère, Bogdan, un roumain qui vit avec son fils adulte. C'est la seule famille de Miguel, même si la liaison entre Carmen et Bogdan s'est terminé il y a quelques années. Quand il rend visite à ce père potentiel, il n'est pas le bienvenu...
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"Avec la Madre, son quatrième long métrage, Alberto Morais dessine le portrait de ce jeune garçon (inte
"Avec la Madre, son quatrième long métrage, Alberto Morais dessine le portrait de ce jeune garçon (interprété par Javier Mendo) qui supplante l’autorité de sa mère (Laia Marull). Cette dernière vit à Sales, en Espagne, et n’a plus de travail. Elle a capitulé et s’est délestée de son empire maternel à coups de vols, disparitions épisodiques, trahisons, coups bas et ce on-ne-sait-encore-quoi dont les yeux caïds de Miguel se sont faits témoins. Avec entre leurs mains le minimum syndical, les deux tentent de vivre en dissimulant leur anémie financière aux services sociaux. Miguel ne veut pas retourner en foyer ; il trouve ses ressources là où il peut, acquiert les sandwich de ses camarades à l’école et vend à la sauvette des paquets de mouchoirs jetables au milieu de transpirants automobilistes speedés qui klaxonnent tout leur saoul."
"Le réalisateur originaire de Valladolid n’en est pas à son premier récit qui mue les mômes en adultes improvisés. Son précédent déjà, Los chicos del puerto (les Gamins du port) en 2013 avait pour trame l’histoire d’un vieillard qui confie à son petit-fils la mission d’aller déposer une veste militaire sur la tombe d’un défunt compagnon d’armes. Avec sa caméra portée, Alberto Morais se démarque en fagoteur d’images nettes et brutes, une facture sans fanfaronnade soulignant les pèlerinages de ses petites têtes qui ont pour exigence d’assumer leur rôle d’émancipés précoces."
"Miguel vit seul avec sa mère, femme instable et fuyante. Il met tout en œuvre pour sauver ce reliquat de cellule familial
"Miguel vit seul avec sa mère, femme instable et fuyante. Il met tout en œuvre pour sauver ce reliquat de cellule familiale, jusqu'au jour où elle disparaît.Autour du portrait d'un adolescent abandonné à lui-même, le cinéaste espagnol dessine le drame de la désertion affective. Si le film reste sous influences (on pense aux frères Dardenne ou à "Une mère", de Christine Carrière), la résistance de son héros face au déterminisme social et la rage d'exécution de la mise en scène lui confèrent de la pugnacité et de l'émotion."
Xavier Leherpeur"Ce drame espagnol, sur l’expérience de survie d’un ado solitaire livré à lui-même (...) a
"Ce drame espagnol, sur l’expérience de survie d’un ado solitaire livré à lui-même (...) a une vraie tenue et de la rigueur. Il évite pathos et clichés. Si c’est potentiellement un mélo à la Dickens ou à la Dardenne, il n’y a pas de place ici pour le lyrisme ou le sentimentalisme. Pas même d’enjeu dramatique très évident. Cela se réduit à l’aventure urbaine d’un ado en roue libre qui recourt au vol, aux petits boulots, et tente de trouver sa place en s’incrustant à droite à gauche. Cela n’empêche pas une vraie pertinence dans le constat social, ainsi que dans les contextes et situations observés qui sonnent toujours juste."
"Un mélodrame en creux, fondé sur la rétention, recèle une part de mystère qui reste préférable à toutes les dégoulinades lyriques. De plus, le fait que ce tableau modérément fataliste de la déréliction ordinaire, étayé par une dramaturgie antispectaculaire et factuelle, soit dénué d’accentuation et de tonalité, permet de faire ressortir le cadre et l’environnement hyperconvaincants (magasins, lycée, travail), et de focaliser l’attention sur le comédien principal, le prometteur Javier Mendo, qui est de tous les plans."
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