L'HOMME QUI EN SAVAIT TROP en VOD
- De
- 1956
- 115 mn
En vacances au Maroc avec sa femme Jo et son fils, le Dr Ben McKenna fait la connaissance d'un Français qui sera assassiné sous leurs yeux le lendemain de leur rencontre. Quelques jours plus tard, leur fils a été enlevé. Ils vont devoir mener leur enquête.
- Policier / Suspense
- Etats-Unis
- Tous publics
1 MIN AVANT
Alors qu’il passe ses vacances au Maroc avec sa femme, le docteur Mac Kenna , témoin d’un meurtre , voit son fils se faire kidnapper dans la foulée. En essayant de le retrouver, il se retrouve mêlé à un complot international de grande ampleur.
Tourné 1956, l’Homme qui en savait trop est donc l’auto remake d’un film qu’Hitchcock tourna 22 ans plus tôt en Angleterre. Et comme il l’avouait à François Truffaut dans le mythique livre d’entretiens entre les deux cinéastes : Disons que la première version a été faite par un réalisateur de talent tandis que la seconde a été faite par un professionnel.
En passant d’une ville à l’autre - de Marrakech à Londres - Sir Alfred mixe comédie ironique et suspense palpitant en mettant James Stewart dans la peau d’un américain moyen confronté à l’extraordinaire. Un peu comme il refera avec Cary Grant dans La mort aux trousses trois ans plus tard. Plutôt habitée aux comédies, la blonde Doris Day, apporte son célèbre peps au milieu d’une histoire mixant meurtres, espionnage à grande échelle et attentats terroriste qui trouve un aboutissement lors d’une des plus célèbres séquences hitchcockiennes, au montage parallèle haletant quand un tueur s’apprête à éliminer un homme politique au beau milieu d’un concert. Le film devint également populaire en partie grâce à la mythique chanson Que sera sera interprétée par Doris Day, également renommée pour ses talents de chanteuse.
Dans le même genre vous pouvez trouver LA MORT AUX TROUSSES (Un polar intense où Hitchcock manie à merveille suspense, humour et paranoïa intense.) ou encore LES DIX COMMANDEMENTS (En 1956, Cecil B. DeMille réalise son dernier film : le remake en couleurs des "Dix commandements" qu'il avait préalablement réalisé en noir et blanc 33 ans plus tôt.).