MONSTER HUNTER

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Après avoir réalisé avec succès pas moins de quatre adaptations du jeu video RESIDENT EVIL, Paul W.S. Anderson semblait tout indiqué pour s’attaquer à un autre jeu de la même compagnie Capcom. C’est chose faite avec MONSTER HUNTER, un projet qui a mis 8 ans à se concrétiser. 

Comme dans RESIDENT EVIL, son épouse Milla Jovovich incarne l’héroïne, la chasseuse de monstres du titre. Elle dirige un groupe de soldats chargés de retrouver une patrouille perdue dans le désert lorsqu’un orage magnétique les propulse dans une autre dimension. Là, ils doivent affronter la faune locale, composée de monstres variés de dimensions colossales. 

Milla Jovovich est accompagnée de Tony Jaa, le phénoménal cascadeur thaïlandais révélé par ONG BAK. Non seulement il  garantit à lui seul des scènes d’actions spectaculaires, mais il est rejoint dans le dernier acte par Ron Perlman (HELLBOY) qui fait rebondir le film d’une façon totalement inattendue.

 
Dans le même genre vous pouvez trouver RESIDENT EVIL (Adapté d'un jeu video Capcom, "Resident evil" raconte une même histoire de survie qui oppose les survivants à des zombies plutôt qu'à des créatures géantes.) ou encore DUNE (Pour les vers géants surgis des sables qui attaquent les humains à la surface d'une immensité désertique.).

Le point de départ de MONSTER HUNTER, qui met en scène une équipe de soldats à la recherche de leurs collègues portés disparus dans des conditions suspectes, est presque exactement le même que celui qui est à la base du jeu RESIDENT EVIL. Les seules différences sont dans les détails : l’armée a fait place à la police, les monstres et les insectes géants ont remplacé les zombies, et l’action est située dans un désert au lieu d’une manoir abandonné. C’est un domaine familier pour WS Anderson, qui avait réalisé la première adaptation du jeu video RESIDENT EVIL avec sa femme Milla Jovovich, ainsi que les trois derniers. 

Né en Angleterre, Paul WS Anderson s’est fait connaître avec un très violent premier long-métrage SHOPPING (1994) dans lequel Jude Law braquait des supérettes à la voiture-bélier. Le réalisateur a très vite enchaîné avec MORTAL KOMBAT (1995), l’adaptation d’un jeu vidéo qui lui a permis d’affirmer un style qu’il n’a plus cessé d’exploiter, à base d’univers fortement stylisés et d’action incessante amplifiée par un montage frénétique. A force de s’entendre poser des questions sur la signification des grenouilles dans MAGNOLIA, le film de Paul Thomas Anderson, le réalisateur anglais a rajouté les initiales WS à son patronyme pour éviter les confusions.  

Malheureusement, il n’avait pas prévu que ces initiales allaient ressembler au prénom d’un autre réalisateur homonyme, alors en pleine ascension : aujourd’hui encore, il est confondu avec Wes Anderson, l’auteur de GRAND BUDAPEST HOTEL, même si leurs films respectifs n’ont rien à voir. Pour illustrer les paysages vastes et désertiques décrits dans le scénario, Paul WS Anderson et son équipe se sont rendus dans des endroits très reculés d’Afrique du Sud et de la Namibie. C’était la 7ème fois que Milla Jovovich jouait dans un film inspiré d’un jeu vidéo. Le nom de son personnage, Artemis, est une référence à la déesse grecque de la chasse. Créé en 2004, MONSTER HUNTER est un jeu de rôle qui place les joueurs dans la peau des chasseurs. 

Aie ! Aie ! Aie ! C'est le genre de mot qui a résonné dans ma tête dès que j'ai entendu parler de la prochaine adaptation cinématographique de jeux vidéo de Paul S.W. Anderson, malgré le manque de respect que ce dernier a fait preuve en sortant ses films ratés de Resident ...

Bonjour et bienvenue sur ma critique de monster hunter, le film que les spécialiste de la CGI internationale des trous du culs du monde vont critiquer ..comme dab Oui alors tu vois la CGI la elle est mal foutue la cochonne ... oui la CGI est vraiment naze car moi qui suis un ...

Ok mesdemoiselles, en route. C'est une femme, quand elle le dit bein ça sonne tout même comme une insulte. Faudra t'y faire. Monster Hunter réalisé par Paul W.S. Anderson réalisateur méprisé que je n'ai aucune honte à au contraire bien apprécier, livre ...