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Un homme naïf, mais fondamentalement bon et généreux, hérite de son riche oncle et part habiter à New York, où il doit faire face au cynisme ambiant.
Un paisible provincial, Longfellow Deeds, natif de Mandrake Falls, une petite ville, apprend un jour qu'il vient d'hériter d'un lointain parent qui lui lègue vingt millions de dollars. Ne sachant trop que faire de cette soudaine fortune, Deeds se rend quand même à New York afin d'y mesurer l'importance de son bien. Sa naïveté nourrit bientôt les railleries de la bonne société new-yorkaise et les convoitises de vautours peu scrupuleux.
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"(...) On retrouve ici l'aspect presque documentaire du cinéma de Capra, sa volonté d'être en prise avec s
"(...) On retrouve ici l'aspect presque documentaire du cinéma de Capra, sa volonté d'être en prise avec son temps et de raconter en direct la grande dépression et son cortège de laissés-pour-compte. Une peinture sombre et amère que Capra vient compenser par la possibilité d'une prise de conscience, par la rédemption et le rachat de ceux qui se sont fourvoyés sur la route de la richesse et du pouvoir. Si les happy-end de Capra semblent forcés et improbables c'est qu'ils représentent le seul espoir dans un océan de désespoir, qu'ils viennent récompenser au dernier moment la pureté des Longfellow Deeds, John Doe ou Jefferson Smith. (...)"
"On sort du film avec ce sourire que l’on aurait après la lecture d’un conte – ce n’est d’ailleur
"On sort du film avec ce sourire que l’on aurait après la lecture d’un conte – ce n’est d’ailleurs pas une coïncidence si Babe Bennett appelle Mr Deeds un « Cendrillon masculin » dans son premier article – qui annonce à certains égards La vie est belle du même réalisateur, mais avec un James Stewart tout aussi excellent. Toutefois, le film ne se réduit pas à cela. Sur un rythme tendu, Capra parvient à toucher à la fois au rêve et aux préoccupations sociales du moment, dans un équilibre parfait entre L’Homme de la rue et La Vie est belle. Si, dans ce film, « tout est bien qui finit bien », on y trouve néanmoins les germes d’une réflexion sur le regard de l’autre : un regard qui, s’il peut transporter quelques préjugés, n’en reste pas moins emprunt de naïveté et de philanthropie."
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